Lors au Café-Philo du 12 janvier 2024 ayant pour thème ''Le Communautarisme'', deux contes ont été donnés : 
- La tour de Babel ou la confusion de langues pour évoquer la division d'une communauté écrasante qui explose en communautarismes, et
- L'eau qui rend fou qui explique la tentation de rester dans le groupe, ou le rejoindre, quitte à renier sa vérité profonde par peur d'être exclu d'une communauté.
D'autres contes apportent des éclairages différents qui pourraient aider à la réflexion :
- Les canards de la discorde : l'étonnante origine des langues
- Les oiseaux dans le filet : leur union leur permettra de s'échapper ou pas ...
- Le roi qui voulait tuer tous les vieux : Le roi voulait, faire du tri dans la société, éliminer tous les vieux pour faire une nation forte. Lorsque le bien du groupe passe au-dessus de l’individu c'est dramatique : c'est se priver de certaines richesses humaines.
Le conte africain est aussi long qu'une soirée de palabres ... Le roi qui voulait tuer les vieux contient de nombreux rebondissements pour nous montrer que les vieux, même improductifs, ont leur importance dans la société moderne. Nous ne pouvons pas nous passer d'un groupe d'âge, comme nous ne pouvons pas gommer toutes les différences. Nous ne pouvons pas faire table rase du passé, ni de ce qui nous le rappelle : les anciens, et les traditions. Mais jusqu'à quel point ? Ce sera l'objet de l'article suivant Les traditions : elles rassemblent ou elles divisent
Et cric et Crac !
La mythologie grecque nous parle de héros aidés par les Dieux, de demi-dieux aux capacités incroyables comme Hercule, le plus connu par ses douze travaux, qui possède une force surhumaine.
Qu’est-ce que, pour un sujet humain, est-il possible de dire ou ne pas dire ? Possible en fait, et souhaitable en droit, du point de vue des valeurs éthiques (le bien) ou politique (le juste).
Le pouvoir de la parole dite à bon escient est insoupçonné. En bien, elle libère, en mal elle peut blesser mortellement. Chaque chose a son opposé : la parole porteuse de vie peut aussi être porteuse de mort. La parole peut-être double : double sens, non-dit, intention d'aider ou de nuire. 
Pour faire suite au café-philo du 12 novembre 2021, voici un conte qui complétera les réflexions faites au sujet du masque, cet objet devenu usuel, quotidien même.
LA PAIX INTERIEURE : enfin ! ... lorsqu'on peut voir la mort comme faisant partie de la vie et contribuant à donner plus de valeur à la vie et au temps, qui nous sont impartis.
