BILLET D'HUMEUR ou D'HUMOUR, c'est selon ...
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jeudi, mai 5 2022
Par patricia gustin le jeudi, mai 5 2022, 04:29
Lorsqu'on étudie le nombre de morts dans une guerre et les conséquences des destructions de toutes sortes, peut-on encore parler de vainqueur et de vaincu ? Nous, les civils, sommes toujours perdants !
La paix ne tient souvent qu'à un fil entre deux états aux relations tendues, en raison des frontières, des enjeux économiques, des haines ancestrales : conflits mal résolus, haines raciales ou liées aux mode de vie et/ou croyances différentes. La paix est très souvent comme la reprise de souffle de deux gladiateurs
Liebniz
La spirale de la militarisation mise en place par un État donne un droit à l’équilibre des forces, ou plutôt d’un équilibre de la terreur, celui de l’impuissance.
Dans la mesure où l’augmentation de la puissance d’un État serait équilibrée par la même augmentation chez d’autres États, y compris aujourd’hui par les armes de destruction massive, l’escalade mondiale ferait de la guerre une impasse. (voir le café-philo ''La guerre, pourquoi ?'').
Dans cette impasse pas de gagnant véritable, que des perdants ... hormis celui qui arrive à se libérer de l'enfermement de cette idéologie.
Pour illustrer cela, quatre contes :
- Les armes de Nasruddin : l'équilibre par la terreur mène à une impasse.
- La force de la vérité : un dictateur ne gagne pas pour autant sur le long terme
- Le prisonnier et le scarabée : la liberté ne tient qu'à un fil
- La souris et le serpent python : un adversaire acculé est prêt à tout pour sauver sa vie
et un peu d'histoire :
- Une victoire à la Pyrrhus
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mercredi, août 11 2021
Par patricia gustin le mercredi, août 11 2021, 22:22
Une petite phrase prononcée devant l'Assemblée Nationale m'a laissé rêveuse ...
"Tout porte à croire que nous avons pris de l'avance sur le scénario du pire".
Est-ce une marque d'optimisme ou de pessimisme au vu de la situation sanitaire actuelle ?
Ceci fait écho à une histoire courte opposant un optimiste et un pessimiste ; à découvrir ci-dessous.
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mardi, avril 28 2020
Par patricia gustin le mardi, avril 28 2020, 14:31
En ces temps de pandémie, certaines mesures ont été prises pour éviter la contamination :
- Restez chez vous !
- Ne sortir que pour des courses essentielles
- Se protéger pour protéger les autres.
Source de l'image : https://www.lareunion.ars.sante.fr/alertes-sanitaires-5
Quelques recommandations :
- porter un masque (pas disponibles !!! ou il faut les faire soi-même),
- revêtir des gants, pour le personnel soignant c'est indispensable mais pour faire ses courses ce n'est pas si efficace que ça : les réflexes de toucher son visage (lunettes qui glissent, nez qui pique ...) ou de prendre son téléphone restent bien présents ... et les gants peuvent donner une fausse impression d'être "bien" protégé alors que cela n'exclut pas les risques : il faut se laver les mains et nettoyer tout ce qu'on achète ...
- et rester à un mètre de distance les uns des autres, deux mètres c'est mieux pour éviter contact et postillons.
Tout a été dit (ou presque) sur ces mesures protectrices. Ici, le point qui m'intéresse est la "distanciation sociale", rester en contact mais éloignés les uns des autres. Source de l'image : pourquoi docteur
Contradictoire ? Que nenni ! Il suffit de regarder autour de soi dans la nature ou dans l'histoire - autres temps, autres lieux, autres moeurs- pour s'apercevoir que la distanciation sociale n'est pas un nouveau concept. Cela s'est déjà fait soit naturellement, soit imposé par la culture de l'époque et/ou du lieu (avec un effet de mode parfois ...)
Quelques exemples ci-dessous ...
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samedi, janvier 20 2018
Par patricia gustin le samedi, janvier 20 2018, 11:40
A partir de rien fut créé le monde (paraît-il ...). Alors avec rien on peut toujours faire quelque chose ...
Quelques contes fait à partir de pas grand chose (un grain de riz, un caillou) et, en complément, les jeux de mots jubilatoires de Raymond Devos faits d'un petit rien car Rien ... ce n'est pas rien !!!
D'un petit rien on peut toujours faire quelque chose ...
Rien .. c'est déjà quelque chose ... le début d'autre chose ?
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lundi, mars 19 2012
Par patricia gustin le lundi, mars 19 2012, 13:27
Campagne électorale ... impression de tourner en rond ? Comme des poissons rouges dans un bocal ?
Passer sa vie dans un bocal, y'a vraiment de quoi devenir fou... Faut dire : ce n'est pas une vie que celle de poisson rouge ! Moi, j'ai touché le fond ... du bocal ... à la médiathèque ... et j'ai retrouvé le sourire ...
Les poissons de Nicolas Poupon (auteur de la BD Le fond du bocal) sont fêlés du bocal et ne tournent plus rond depuis belle lurette mais savent nous interpeller de façon très pertinente ... de quoi faire exploser quelques bulles à la surface et faire des vagues dans l'aquarium.
Je vous laisse plonger dans ce petit monde ...
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mardi, mars 6 2012
Par patricia gustin le mardi, mars 6 2012, 14:54
Aujourd’hui, c'est Philosophie !
Le bonheur se trouve-t-il vraiment dans la possession ou la quête de puissance ? Nous risquons d'être à jamais insatisfait car il y a toujours mieux ! Mais uniquement parce qu'on n'est pas conscient de tout ce qu'implique cette nouvelle chose, ou cette situation tant espérée, qui nous fait tellement envie ... Ni trop, ni trop peu serait mieux.
Comme disait ma grand-mère ...
- Chaque médaille à son revers
- Rien n'est parfait en ce bas monde
- S'il y a toujours plus haut, il y a toujours plus bas ...
- Le mieux est l'ennemi du bien ...
A force de se lamenter parce qu'il y a mieux ailleurs, à force de chercher le bonheur dans ce qui nous manque, nous risquons de ne pas apprécier ce que nous avons à portée de main. Et le bonheur restera inaccessible, insaisissable, ou plutôt il nous glissera entre les doigts car il n'est jamais très loin pour qui sait apprécier les petites choses de la vie. A défaut d'un bonheur de tous les instants, justement parce que la vie de chaque jour devient de plus en plus difficile, il devient urgent d'apprendre à se contenter de petits bonheurs saisis à chaque instant, au jour le jour ...
Que nous disent les contes ?
Un conte du Japon, L'ambitieux tailleur de pierre, nous aide à apprécier ce que nous sommes, plus que ce que nous avons ....
Et cric, et crac !
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samedi, février 4 2012
Par patricia gustin le samedi, février 4 2012, 10:26
Pause café : lire son journal sans RIEN faire ... sans même tourner les pages ... grâce à une mécanique sophistiquée ... Une vidéo à voir absolument ...
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vendredi, août 5 2011
Par patricia gustin le vendredi, août 5 2011, 16:26
Les vélos c'est bien. C'est écologique.
Les pistes cyclables c'est encore mieux.
Il devrait y en avoir partout.
Oui, mais comment empêcher les automobilistes de stationner sur les voies cyclables ?
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mercredi, décembre 1 2010
Par patricia gustin le mercredi, décembre 1 2010, 13:00
Les fêtes de fin d'année approchent. Les listes de cadeaux se télescopent ... Mais comment choisir ? Il me semble que la tendance actuelle privilégie tout ce qui paraît ludique, amusant, nouveau, technique de pointe ... modernité, développement économique nous permettent beaucoup de fantaisie ...
Au fait, tout progrès, tout développement, est-il bon en soi ?
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vendredi, juillet 30 2010
Par patricia gustin le vendredi, juillet 30 2010, 01:24
"Xénophobe" : est formé de deux racines grecques, issues du grec ancien (xénos, « étranger » et phobos, « rejet, peur »), le mot xénophobie est un néologisme. Il apparu pour la première fois dans un dictionnaire, le Nouveau Larousse Illustré, en 1906. La xénophobie est davantage l’expression d’une réaction défensive à une menace appréhendée. Le xénophobe méprise l’autre non parce qu’il le juge "inférieur" mais parce qu’il le ressent comme "intrus" : l’autre c’est celui qui n’appartient pas à son groupe ethnique d’origine, c’est celui qui demeurera éternellement l’étranger, et donc par définition, menaçant. Le xénophobe est habité par un sentiment, non de puissance, mais d’insécurité : son avenir économique, son patrimoine culturel et linguistique, ses traditions morales et religieuses, voire son intégrité physique seraient mis en péril par la présence de cet étranger. (Gillepsie, 1992)
Mais est-ce bien raisonnable ? Pourquoi se priver de la variété offerte par les autres pays et les autres cultures ? A mon avis, pour être xénophobe, il ne faut pas être gourmand, et encore moins gourmet. Saviez-vous que la plupart de notre alimentation nous vient de pays lointains ?
Pour ceux qui restent sur leur position "Restons Français !" (et entre Français) il faudrait retourner au temps de nos ancêtres les Gaulois ... et à leur potager rustique et limité.
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mercredi, juillet 28 2010
Par patricia gustin le mercredi, juillet 28 2010, 12:04
Observer les plantes et leurs réactions est très instructif ... Alain Baraton ("Le jardinier de Versailles") nous en fait une fois de plus la démonstration. La peur incite à trouver une esquive, pousse à la fuite, mais lorsqu'on est un arbre, que faire ? Réagir de manière à repousser son agresseur. Et trouver des alliés ...
L'acacia d'Afrique devient toxique lorsque le grignotage de ses feuilles dépasse les limites de l'acceptable. Il est généreux, mais sait se protéger. Des épines se dressent. Pour entretenir ses défenses l'acacia accueille dans le creux de ses épines toute une armée de féroces guerriers (les fourmis) qui repousseront les autres envahisseurs (les insectes). Afin de fidéliser sa garde il sait leur offrir un délicieux nectar. Ainsi un équilibre des forces s'établit entre le don et la protection partagée grâce à la solidarité née de la peur d'être dévoré sur pied ...
Cet équilibre naturel a été remis en question par la main de l'homme (encore lui et ses expériences !) : à vouloir trop protéger des agresseurs habituels (les girafes et autres mammifères friands des feuilles d'acacia) le remède s'est trouvé pire que le mal : plus de défenses naturelles (devenues inutiles), plus d'alliés (les fourmis au chômage ont piqué quelques crocs en guise de piquets de grève et sont parties vers d'autres cieux ou d'autres branches) ... et de multiples parasites se sont installés sans rien pour les en empêcher ...
Finalement cet excès de protection a engendré une plus grande faiblesse ...Il en va de même dans notre société : les épreuves renforcent le sens de la solidarité et nous incitent à trouver des solutions appropriées. Tout donner, (et surprotéger) c'est finalement appauvrir ...
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mardi, juillet 27 2010
Par patricia gustin le mardi, juillet 27 2010, 01:12
Entre botanique et anthropologie l'histoire du figuier étrangleur ressemble à s'y méprendre au comportement de certains individus parasites, profiteurs, manipulateurs, exploitant la bienveillance, la générosité de certains naïfs . A regarder faire les êtres vivants, quels qu'ils soient, hommes ou plantes, il y a matière à apprendre chaque jour, parfois à ses dépens. Alors, prenons-en de la graine !
Strangler fig. Ficus sp. Wynaad, Kerala, India. Photograph by L. Shyamal. Nov, 2005 (Wikipédia)
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jeudi, janvier 28 2010
Par patricia gustin le jeudi, janvier 28 2010, 10:46
Les habitudes de lecture évoluent ... Avec les nouvelles technologies et l'utilisation de plus en plus répandue d'internet pour la fréquentation des réseaux sociaux (facebook, forum, e-mail, ...) la génération des 15-25 utilise maintenant largement l'écran comme support de lecture.
Pourtant je persiste à dire que le livre reste indispensable pour beaucoup et à plus d'un titre. Il est surtout un ami fidèle.
Comment le faire apprécier et/ou redécouvrir ?
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mercredi, décembre 2 2009
Par patricia gustin le mercredi, décembre 2 2009, 12:27
C'est le cri de rage de notre société :
- Plus de confort, moins d'efforts,
- Plus de loisirs, de temps libre, de plaisir,
- Plus de nouveautés, de modernité synonyme de plus de nouvelles technologies, astuces informatiques …
- Même les livres sont « augmentés », et deviennent e-books ;
- Les téléphones font encore plus : ils sont devenus sans fil, mobiles et e-phone ;
- Plus de réformes, plus de nouvelles lois, plus de possibilités (pour qui ?) (pour quoi faire au juste ?)
Et l'on oublie que PLUS de quelque chose signifie aussi MOINS d'autre chose … Moins de temps pour simplement penser par soi-même, moins de temps pour dormir, se reposer, vivre en famille (et pas seulement par post-it interposés, devenus maintenant des textos …). Plus de technologies, moins de communication directe, d'âme à âme … comment se ressourcer alors ?
Plus avoir, Moins à voir ?
C'est dans les contes des Mille et Une Nuits que nous trouverons une réponse ...
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lundi, octobre 5 2009
Par patricia gustin le lundi, octobre 5 2009, 15:01
Quand j'étais petite (il me semble que c'était hier... avant-hier ?) on chantait : "Qui a peur du grand méchant loup, c'est pas nous ! c'est pas nous !"... et maintenant le monde déchante en criant sa peur de LA Grippe !!! Mais est-elle si terrible qu'on veut bien se le dire ?
La crainte de la maladie est plus dangereuse que la maladie elle-même
Paracelse
Question de point de vue me direz-vous, et un conte vous aidera à prendre le recul nécessaire...
Et cric ! et crac ! ...
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dimanche, juillet 26 2009
Par patricia gustin le dimanche, juillet 26 2009, 00:03
Internet permet-il de se tenir connecté au monde entier ou, piège de la surinformation, nous déconnecte-t-il de nous-mêmes ?
Ce qui serait une manière de nous fuir nous-mêmes ?
Aurions-nous l'esprit du singe ?
L'outil internet est extraordinaire car on peut se tenir au courant de tout en un rien de temps … en théorie car encore faut-il vérifier ses sources d'informations ! Et ce tourbillon peut nous entraîner bien loin de notre objectif premier. Sérendipité quand tu nous tiens ! Mais aussi nous permettre de faire de géniales trouvailles inopinées …
Mais, soyons honnêtes (essayons … un peu, allez un tout petit peu…) : il est très facile de devenir « accro » et en deux recherches et trois clics, nous voilà prisonnier de la toile, empêtrés comme une vulgaire mouche … (qui joue le rôle de l'araignée ?)
Finalement, tout ce temps passé à faire de la veille (excellent alibi), à consulter nos mails, nos fils RSS, nos sites préférés, à rester en contact avec nos amis, notre réseau social (via Facebook par exemple ...) ... Finalement ? Ne serait-ce pas une manière inconsciente de nous fuir nous-mêmes ?
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dimanche, mars 15 2009
Par patricia gustin le dimanche, mars 15 2009, 01:37
L'amour c'est comme un œuf, si on le presse trop fort, il casse. Et si on le prend de façon trop décontractée, alors il tombe.
Alvania - Indonésie - "6 milliards d'Autres", p 82.
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mercredi, février 18 2009
Par patricia gustin le mercredi, février 18 2009, 14:12
De l'importance de bonnes relations entre un(e) documentaliste et les nouvelles technologies
Un croquis vaut mieux que 1000 mots ...
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vendredi, février 13 2009
Par patricia gustin le vendredi, février 13 2009, 17:32
Internet est comme un jardin aquatique
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jeudi, février 12 2009
Par patricia gustin le jeudi, février 12 2009, 01:38
Le vent du Nord souffle. Il fait froid. Malgré tout je veille. Il y a bien une petite info qui viendra nourrir mon blog ...
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