mardi, décembre 12 2023
Par patricia gustin le mardi, décembre 12 2023, 15:22
La mort fait partie de la vie, mais :
Beaucoup ne veulent même pas y penser ... comme des enfants qui, jusqu'à six ans environ, n'ont pas la notion de mort.
Nous sommes nombreux à la craindre. Les religions nous ont enseigné qu'il existe une vie après la mort pour adoucir cette angoisse.
Certains voudraient même ne pas mourir du tout ...
Ils mettent leur espoir dans la science pour leur éviter une mort définitive (transhumanisme, cryogénisation ...).
Nos anciens en ont fait un conte : L'homme qui ne voulait pas mourir. Un conte transmis de bouche à oreille, collecté puis écrit au XIXème siècle en France et en Italie. Voici ci-dessous la version recueillie dans l'Orne, en 1896, et contée par Jean Markale.
Et cric et crac !
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mercredi, novembre 15 2023
Par patricia gustin le mercredi, novembre 15 2023, 00:00
L'argent est traître ... Le désir de posséder encore plus ...
Plusieurs contes l'attestent. Deux articles précédents en témoignent :
- ''L'argent dans les contes'' avec 14 autres contes plus ou moins "argentés" qui révèlent les facettes multiples de l'argent : fascination, désir insatiable, puissance, mais aussi comment résistent ceux qui veulent penser par eux-mêmes et vivre libre.
Et maintenant, un autre conte : La simplicité du Derviche .
Après avoir évoqué la possibilité de résister au pouvoir toxique de l'argent, voici maintenant un autre derviche qui, bien que voulant vivre dans le dénument, se crée bien du soucis : ses bonnes intentions ont été mises à mal par un coeur de bonne volonté mais pas assez aguerri.
Et cric, et crac !
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vendredi, avril 22 2022
Par patricia gustin le vendredi, avril 22 2022, 18:33
Suite au café-philo du 15 avril, certaines questions restent en suspens. Après avoir répondu à la question Pourquoi la guerre ?, il serait bien de songer au moyen d'éviter une guerre ...
Deux options se présentent :
- Vaincre sans combattre, sans pourtant se montrer faible dans une fuite initiée par la peur.
- La diplomatie pour désamorcer les provocations et trouver une solution aux conflits.
Voici quelques contes d'Asie à méditer pour illustrer la première partie Vaincre sans combattre :
- L'art de vaincre sans combattre, conte japonais avec samouraïs
- Les trois samouraïs
- Laisser mûrir le coq, conte des arts martiaux
- Les portes du paradis, conte zen
- L'éducation du serpent, ou les limites de la non-violence
Paraître fort, sûr de soi et déterminé, peut éviter un affrontement :
- Dame Carcas, légende du moyen-âge
- Le roi et les barbares, le plein et le vide
ou conduire à une impasse :
- Les armes de Nasruddin, conte facétieux déstabilisant qui donne à penser.
L'Art de la diplomatie sera traité dans l'article suivant :
- Les deux épouses, conte du monde arabe
- La mauvaise haleine, conte du Maghreb
- L'enfant qui sauva la ville, conte d'Orient
- Une défaite d'Alexandre le Grand, conte d'Orient.
- Messages secrets, conte d'Orient
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lundi, janvier 10 2022
Par patricia gustin le lundi, janvier 10 2022, 20:43
Parfois on ne peut changer le monde, modifier ce que l'on vit ... Subir ronge les forces intérieures. Plutôt que subir et souffrir sans espoir d'amélioration, il y a une soupape de sécurité : mettre des mots sur les maux.
Les quatre contes présentés ci-dessous compléteront l’article précédent ''Aux origines du monde : La parole'', Parole créatrice et Parole destructrice.
- Bouche cousue, poison mortel un exemple de Parole libératrice.
- Les jumeaux à la croisée des chemins : comment discerner une parole vraie d'une parole fausse ? Paroles libres qui s'opposent : discernement et bon sens requis ...
- Le génie qui mentait ou Les 7 miroirs de l'âme : une parole double qui révèle la face cachée des choses. Parole libérée.
- L’injure salit celui qui la profère : une parole mal venue. Parole sauvage.
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mercredi, janvier 5 2022
Par patricia gustin le mercredi, janvier 5 2022, 20:41
Le pouvoir de la parole dite à bon escient est insoupçonné. En bien, elle libère, en mal elle peut blesser mortellement. Chaque chose a son opposé : la parole porteuse de vie peut aussi être porteuse de mort. La parole peut-être double : double sens, non-dit, intention d'aider ou de nuire.
La parole construit et détruit ... en quelques contes :
- La parole crée le monde : Pour être un homme nomme, Muriel Bloch d'après Abbi Patrix, conte indien Houma de Louisiane
- La parole nourrit : La chair de la langue, Praline Gay-Para, conte swahili de Tanzanie
- La parole change une vie ou tue si elle est tue : La parole, Henri Gougaud, conte africain
- La parole qui trahit : L’Eau, le Feu, la Vérité et le Mensonge, conte africain
Et cric, et crac !
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jeudi, décembre 2 2021
Par patricia gustin le jeudi, décembre 2 2021, 15:50
Pour faire suite au café-philo du 12 novembre 2021, voici un conte qui complétera les réflexions faites au sujet du masque, cet objet devenu usuel, quotidien même.
Les masques par le passé ont servi à :
- jouer un autre personnage,
- faire lien avec les mondes invisibles des esprits,
- se cacher, à se protéger.
Nous ne retenons actuellement que la dernière fonction : se protéger d'un virus et protéger les autres de sa transmission. Dans quelle mesure est-il efficace, indispensable ou non, ce n'est pas l'objet du débat ici.
Pour aborder une autre sorte de protection du masque, voici un conte africain : Masque d'écorce Un baobab a joué un rôle protecteur pour une pauvre orpheline jusqu'à ce qu'elle parte par désir de vivre en société. Un masque d'écorce protège son visage des regards trop appuyés, trop curieux, trop méprisants, jusqu'à ce qu'elle soit acceptée et vive enfin en sécurité. A ce moment-là, et seulement à cette condition là, elle peut enlever le masque.
Ce masque d'écorce protège des regards méprisants, mais il n'enlève rien à la personnalité simplement cachée en apparence.
Ainsi le masque est protecteur :
- au sens physique, dans certains métier ou sports,
- au sens biologique en limitant le contact avec les virus,
- il nous préserve aussi des regards mal venus, de trop de curiosité et/ou du mépris.
- il permet de se rendre compte de la qualité du regard posé sur nous : il y a les personnes qui ne voient que l'aspect du masque et celles qui chercheront à nous connaître vraiment.
Et cric et crac !
L'histoire sort du sac ...
article mis à jour et complété le 1er février 2022
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samedi, mai 15 2021
Par patricia gustin le samedi, mai 15 2021, 17:01
Illustration : https://www.lien-social.com/Les-inegalites-submergent-l-ecole
La notion-clef de l’humaniste est la suivante : la valeur absolue de l’humanité est fondée sur l’être même de l’homme et non sur un principe ou une réalité qui serait extérieur ou supérieur à elle.
Comment voir la valeur intrinsèque de chaque individu quand la vie distribue des handicaps ? Certains naissent dans un pays en guerre, un milieu défavorisé, ou sont limités par des handicaps physiques. Les contes permettent de comprendre que chacun peut réussir à s'élever malgré les circonstances.
Quelques contes pour éclairer la réflexion :
- Une partie de carte :
On peut réussir une belle partie avec des cartes pas fameuses, et faire une partie médiocre avec tous les atouts en main.
.
- Les trois cheveux d'or du Petit Père Soleil :
La réussite après une longue quête semée d'embûches.
Ce conte nous vient de Bohême (actuelle Tchécoslovaquie). Une autre version a été collectée par les frères Grimm (Les trois cheveux d'or du Diable).
- L'enfant loué au Diable :
Un jeune garçon devient serviteur du Diable et accède à toutes sortes de connaissances. Il échappe au Diable en changeant de formes sans cesse : le jeune apprenti sort transformé et riche de tout ce qui a été appris et vécu.
Et cric, et crac ! ...
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dimanche, novembre 8 2020
Par patricia gustin le dimanche, novembre 8 2020, 12:45
Ne vous est-il jamais arrivé de ne pas vous sentir à votre place ? au point d'avoir une envie irrépressible d'aller voir plus loin ?
Même (et surtout) quand on est confiné, l'envie de partir (loin de préférence) peut s'emparer de nous.
En changeant de lieu on espère changer ses conditions de vie. C'est parfois nécessaire (misère, guerre, manque de liberté ou de possibilités ...).
Mais pour bien vivre ce déracinement, encore faut-il vivre cet exil comme un choix personnel et non le subir avec regret.
Cependant, la plupart du temps, le chemin a pour fonction de nous amener à nous changer nous-même ; au minimum, il s'agit de changer le regard qu'on porte sur soi et le monde afin mieux voir où sont les vrais valeurs, nos trésors enfouis en nous-mêmes.
Deux contes peuvent éclairer notre chemin ...
- Les deux voyageurs
- Le trésor du rêve
Et cric et crac !
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mercredi, janvier 10 2018
Par patricia gustin le mercredi, janvier 10 2018, 23:41
Pendant les fêtes de fin d'année, les enfants (petits et grands) ont reçu plein de cadeaux. Trop ? Pas assez ? cela dépend de quel côté on se place ...
Pour bien recevoir, il faut savoir apprécier ... Pour savoir apprécier, il faut d'abord voir les surprises qui nous arrivent. Plus important encore, savoir donner ...
En donnant, nous sommes heureux de partager, nous sommes joyeux en voyant par avance le plaisir que nous allons apporter, nous sentons qu'ainsi nous mettons en action la part positive qui dort en nous, elle devient vivante et nous nous sentons plus vivants aussi.
Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir (L'apôtre Paul cite les paroles de Jésus dans Actes 20:35)
Un conte nous permet de saisir cette sagesse ...
Le 9 janvier 2018, pour les enfants de CE1 et CE2 :
- j'ai eu le plaisir de partager le conte Le roi d'or : donner sans mesurer et l'on recevra abondamment
- j'ai enchaîné par un conte sur l'hospitalité et la mise en commun des ressources avec La soupe au caillou d'Anais Vaugelarde, où les protagonistes sont des animaux : On peut toujours faire un repas partagé à partir d'un petit rien ...
En complément :
- Le grain de riz, un conte d'Alain Gaussel dans cet article. Lorsqu'on n'a rien, un petit quelque chose à partager, c'est déjà beaucoup.
- Les jeux de mots jubilatoires de Raymond Devos faits d'un petit rien car Rien ... ce n'est pas rien ! à découvrir dans l'article suivant Donner, partager ... et lorsqu'on n'a rien ?
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lundi, mars 14 2016
Par patricia gustin le lundi, mars 14 2016, 19:55
Quand sagesse et folie se côtoient, peut-on rester la seule personne sensée face à un monde devenu fou ?
Quand tu bois de l'eau, pense à la source.
Proverbe oriental
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lundi, février 24 2014
Par patricia gustin le lundi, février 24 2014, 09:07
Ça pourrait être pire est un conte issu de la sagesse yiddish venu de Pologne, mais sa portée est universelle. Conté par Patricia le 22 février 2014, chez Viviane.
Et cric, et crac !
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lundi, avril 8 2013
Par patricia gustin le lundi, avril 8 2013, 09:33
Un album jeunesse de Uri Shulevitz, La pièce secrète, Ecole des Loisirs, Kaléidoscope, 1995 : Un roi, impressionné par l’intelligence d’un homme du désert, l’engage à son service. Mais le vizir, jaloux, cherchera par tous les moyens à se débarrasser du rival gênant devenu trésorier. Grâce à ses espions, le vizir découvre que chaque jour l'homme du désert se rend dans une pièce secrète ... Le vizir flaire le détournement du trésor, un complot ... Il va enfin pourvoir se débarrasser de cet étranger ! Mais, attendons de voir ce que renferme cette pièce secrète ....
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dimanche, décembre 9 2012
Par patricia gustin le dimanche, décembre 9 2012, 09:17
Le pain est base essentielle de l'alimentation pour une bonne part de l'humanité, ce qui en a fait un symbole de la vie mais aussi de partage essentiel pour les autres mais aussi pour soi-même ...
Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras
a écrit le sage roi Salomon dans le livre de l'Ecclésiaste (11:1).
Mais comment le pain jeté à la surface des eaux pourrait-il revenir ?
Le pain jeté à la surface de l'eau, c'est tout juste bon pour les canards ! de toute façon il disparaît car, gorgé d'eau, il finit par couler... La réponse est dans un conte de la Méditerranée ...
Résumé :
Une pauvre vieille à court de réserves, balaie le grenier d'un riche marchand et réussit à faire 3 boules de pains. Mais, au moment de manger, un pauvre vient frapper à sa porte, puis un second. Généreuse et touchée par leurs malheurs, elle donne deux de ses pains. Il lui en reste un : elle va trancher ce pain durement et honnêtement gagné et mérité quand le vent s'engouffre et l'emporte vers la mer ... La pauvre petite vieille crie à l'injustice. Elle décide de porter plainte ... contre le vent ! Elle se rend au palais de justice du Roi Salomon, réputé pour son sens de la justice et son intelligence à résoudre les affaires les plus délicates...
Mise en bouche :
Une petite devinette ...
Que dit le pain quand on le mange ?
Et maintenant, un conte et quelques miettes ...
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dimanche, avril 24 2011
Par patricia gustin le dimanche, avril 24 2011, 16:50
Action, réaction, réflexion ... Le tout est de savoir doser ...
Chaque action entraîne une réaction ... ils sont nombreux (et sages) les conseils nous demandant de réfléchir avant d'agir.
Mais encore faut-il savoir doser notre introspection. Trop et c'en est fini de toute spontanéité et l'on se prendrait vite au piège qui consiste à envisager à chaque fois le pire, le risque, la manipulation éventuelle des autres ... et comme il n'y a pas de solution parfaite, nous serions vite contraints à ... ne rien faire du tout ... ne sachant quoi faire exactement.
"Le mieux est ennemi du bien" me disait ma grand-mère qui avait tout compris... Heureusement pour nous, certaines actions indispensables à notre survie sont "automatiques" ... sinon nous arrêterions de respirer à force de nous poser des questions sur la pollution de l'air, et nous serions déjà morts asphyxiés avant de comprendre comment fonctionnent nos poumons ...
Est-il indispensable de TOUT connaître et de TOUT comprendre (est-ce seulement possible ?) avant d'agir ?
Un conte Zen de la Chine ancienne nous l'explique en quelques mots.
Et cric, et crac !
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mardi, mars 2 2010
Par patricia gustin le mardi, mars 2 2010, 10:07
Les plus petites choses ont leur importance, et même parfois une grande importance selon le besoin du moment, le discernement et la vivacité d'esprit de celui qui la possède. L'inverse est aussi vrai : des choses de grandes valeurs peuvent être perdues du jour au lendemain ... cette perte n'est qu'une étape pour celui qui sait observer et tirer parti des évènements. C'est ainsi que Saro a pu obtenir un royaume en ramassant une aiguille ...
Et cric ! Et crac !
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dimanche, février 28 2010
Par patricia gustin le dimanche, février 28 2010, 20:55
"A quelque chose malheur est bon"
dit la sagesse populaire. Il y a toujours quelque avantage à retirer de nos malheurs, si douloureux soient-ils. Avoir cette idée à l'esprit permet de mieux les affronter et de les supporter en attendant des jours meilleurs.
Probablement issu d'une tradition orale, ce proverbe est cité dans un recueil du XVIème siècle ; il a été repris par François Marie Arouet (Voltaire) dans L'Ingénu (1767) : Il prit pour sa devise: malheur est bon à quelque chose. Combien d'honnêtes gens dans le monde ont pu dire : malheur n'est bon à rien !
Sans être fataliste, il nous faut bien accepter ce que nous ne pouvons pas changer. Et parfois ce que nous prenons pour un évènement désastreux ouvre la porte à une changement heureux, bien plus que si rien ne s'était passé ... Laissons parler les chevaux du destin dans un conte plein de sagesse Zen ...
Et cric ! Et crac !
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vendredi, février 26 2010
Par patricia gustin le vendredi, février 26 2010, 10:43
Vous connaissez "l'effet papillon" ? Oui, bien sûr... Un petit évènement peut changer le cours de l'histoire.
À cause du clou, le fer fut perdu.
À cause du fer, le cheval fut perdu.
À cause du cheval, le cavalier fut perdu.
À cause du cavalier, le message fut perdu.
À cause du message, la bataille fut perdue.
À cause de la bataille, la guerre fut perdue.
À cause de la guerre, la liberté fut perdue.
Tout cela pour un simple clou.
Benjamin Franklin
Dans un conte des frères GRIMM, le cheval d'un marchand perd un clou de son fer arrière gauche ; le marchand pressé, ne prend pas le temps de s'arrêter et il perdra bien plus encore par négligence ...
Et cric ! Et crac !
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mardi, février 2 2010
Par patricia gustin le mardi, février 2 2010, 00:03
Non, tout n'est pas écrit ... il suffit parfois d'un geste ou d'une phrase pour renverser une situation qui semblait gagnée d'avance. Qui n'a pas été confronté à une "mauvaise" surprise, au moins une fois dans sa vie ? Le mieux est l'ennemi du bien
... dit la sagesse populaire. En contrepartie, un contre-temps, une perte, une maladie ... qui semblent a priori des éléments négatifs peuvent en fait donner une nouvelle orientation à notre journée ou notre vie en engendrant une suite positive inattendue : C'est un mal pour un bien
...
Ce que la chenille appelle la fin du monde, le maître le nomme ... papillon
Lao-Tseu
Les exemples sont multiples ... mais un conte du Tibet en dégagera toute la saveur et la sagesse ...
Et cric ! Et crac !
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mercredi, décembre 2 2009
Par patricia gustin le mercredi, décembre 2 2009, 15:18
La sagesse de ce conte tiré des Contes des Mille et Une Nuits nous guide dans le désert que nous devons tous un jour ou l'autre affronter … Que ce conte traverse le temps, caresse nos oreilles, ouvre nos yeux et germe en notre cœur...
Et cric ! Et crac !
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mardi, septembre 22 2009
Par patricia gustin le mardi, septembre 22 2009, 10:49
Vieux à vendre ! ... Histoire du vieux Âref
Trop jeune : pas d'expérience ... trop "vieux" : trop ? d'expériences .... Les employeurs ont l'air de craindre que le fait d'avoir plus d'expérience (et plus d'âge) ne vous rende difficile à manier (parce que pas tombé de la dernière pluie ?)...
D'abord : DONNEZ-MOI (s'il-vous-plaît) UNE DEFINITION (honorable) DE "VIEUX" !!! "Vieux" pour la société ou le monde du travail ne veut pas dire gâteux ou inactif !!! Et puis maintenant on dit "senior" ... comme on dit "technicien de surface" pour ne pas dire "balayeur" ou "femme de ménage"... mais est-ce que cela change vraiment quelque chose ? ...
La réponse est ... ailleurs .... dans un conte ....
Et cric, et crac !
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