Je veille, tu veilles, il (elle) veille... de la veille documentaire à la veillée de contes ...

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

mardi, décembre 20 2022

CAFE PHILO : D'où vient le mal ? - 16 décembre 2022

032_cafe.gif Cette question sur la source du mal a été traitée par Marcelle:

La pensée du mal a toujours été une pierre d’achoppement pour les hommes, pour les métaphysiciens, les éthiciens, les théologiens, les écrivains… et pour nous tous qui nous y heurtons quotidiennement. Peut-être nous trouvons-nous là aux limites du sensé ? La réflexion en groupe, si sans doute elle ne nous pas permettra pas de vaincre ce mystère, nous permettra-t-elle d’en tracer au moins les contours ?…

Dans cet article vous découvrirez :

  • Un conte en introduction : Au jardin d'Eden, le Bien et le Mal s'affrontaient déjà. Puisqu'il faut remonter aux origines, rendons-nous dans le jardin d'Eden, il paraît que c'est là-bas que tout a commencé, la vie, le bien, le mal ...
  • La présentation de Marcelle et quelques notes personnelles
  • Un conte chinois en conclusion : Les chevaux du destin un bien pas toujours bon et un mal pour un bien ...


D'autres contes sur le thème un mal pour un bien :

  • Le vieil indien et son petit-fils où le mal et le bien se disputent la meilleure place en nous.
  • Le roi Batcha et les fourmis, conte Tibétain, in Luda : "365 contes de gourmandise", Gallimard Jeunesse/Giboulées, 1999, pages du 23 au 25 janvier
  • Le clou, in J. et W. Grimm : "Contes, volume II", Flammarion, coll. Grand Format, 1986, p 423. Il faut si peu de choses pour annhiler nos efforts ... Ne négligeons pas les petites choses, ni ceux qui vivent à nos côtés.
  • Le petit malin, in Ré et Philippe Soupault : "Histoires merveilleuses des Cinq Continents", Ed Seghers, 1985, épuisé, p 211. Réédité en 1990.


Lire la suite...

dimanche, février 28 2010

Malheur ou chance ?

"A quelque chose malheur est bon" dit la sagesse populaire. Il y a toujours quelque avantage à retirer de nos malheurs, si douloureux soient-ils. Avoir cette idée à l'esprit permet de mieux les affronter et de les supporter en attendant des jours meilleurs.

Probablement issu d'une tradition orale, ce proverbe est cité dans un recueil du XVIème siècle ; il a été repris par François Marie Arouet (Voltaire) dans L'Ingénu (1767) : Il prit pour sa devise: malheur est bon à quelque chose. Combien d'honnêtes gens dans le monde ont pu dire : malheur n'est bon à rien !

Sans être fataliste, il nous faut bien accepter ce que nous ne pouvons pas changer. Et parfois ce que nous prenons pour un évènement désastreux ouvre la porte à une changement heureux, bien plus que si rien ne s'était passé ... Laissons parler les chevaux du destin dans un conte plein de sagesse Zen ...

Et cric ! Et crac !

Lire la suite...