Contes d'Hiver, de gel et de neige 2013 :

Les forces de la nature ...

  • Le soleil, le gel et le vent, Afanassiev_Contes populaires russes_MaisonneuveLarose_1999un conte de Biélorussie collecté par Afanassiev, "Les contes populaires russes", Maison neuve et Larose, ou dans l'édition Imago. Texte en ligne ici, et son adaptation dans l'article "Que choisir ? Le soleil, le gel ou le vent ?". Un jour d'automne, un paysan s'en revenait vers son village natal quand il croise trois beaux messieurs. Il fait une profonde révérence. Mais ces beaux seigneurs, vexés, lui demandent qui il a salué. Le soleil, le gel ou le vent ?


et Le cycle des saisons :

  • L’enfant de neige - tantôt garçon, tantôt fille - perd peu à peu de consistance avant de disparaître en vapeur ... Le conte russe rapporté par Afanassiev (Ivan et Maria in : "Les Contes populaires russes", en ligne ici) rapporte la légende de Snégourotchka, l'enfant de neige, une petite fille au teint si délicat. Une fois que le soleil ressortit et les flocons de neige fondirent, Snegourotchka pleura comme pleure une sœur après son frère. La vie de la fille de neige se termine à la fête du printemps, lors de la fête du solstice d'été, lorsqu'on saute au-dessus du feu Tout le monde commença alors sauter par dessus le feu en chantant, quand tout d’un coup quelque chose eut fait du bruit et gémit doucement. Elles se retournèrent. Mais il n’y avait personne. Elles ne voyaient plus Snégourotchka.. Un conte estonien ici met en scène un garçon. On trouve même ce conte en Gascogne et en occitan !
  • L’enfant de neige Contes-autour-du-monde_Maggie Pearsonin : "Contes autour du monde", Maggie Pearson, Grund, 1997. Dans le conte ci-dessous, il y a amalgame entre deux contes russes (voir le recueil d'Afanassiev) : L'enfant de neige et Sniégourouchka et la renarde. Selon la légende de "L'enfant de neige", née du roi Gel et des forces vives de la nature, la petite fille de neige va vivre quelque temps avec un vieux couple de paysans qui n'ont pas d'enfant, car ils ont façonné une bonne femme de neige avec amour, en pensant à la petite fille qu'ils auraient tellement aimé avoir. Elle restera tant que durera le froid, jusqu'à l'arrivée de l'été. Le deuxième conte rapporte un péripétie arrivée à Sniégorouchka : Un jour, la fillette part cueillir des baies avec ses camarades et reste en arrière. Perdue dans les bois, elle croise un ours puis un loup qu'elle refuse de suivre de peur d'être mangée, mais monte sur le dos de la renarde qui la ramène chez elle. Les vieux parents donnent du lait des œufs, du fromage blanc à la renarde qui réclame une poule qu'il faudra lui porter en plein champ. Les vieux mettent dans un sac une poule, dans l'autre une chienne. Ils lâchent la poule, la renarde se précipite et aussitôt après, ils lâchent la chienne. La renarde s’enfuie en un clin d’œil, la voilà disparue au plus profond de la forêt. Sniégorouchka croyait qu'ils l'aimaient plus que tout mais quand elle s'aperçoit qu'ils refusent de donner une poule à la renarde qui l'a ramenée à la maison, l'enfant de neige fond en larmes, elle fond vraiment ! Voici maintenant quelques extraits de la version de Maggie Pearson : Par un beau jour d'hiver, Piotr eut l'idée de sculpter un enfant de neige. Il le fit par amour pour sa femme, Anna, car ils n'avaient pas d'enfant. Il fit une petite fille souriante, avec le nez retroussé et de petites fossettes au creux des joues. Le lendemain matin, il retourna voir l'enfant de neige, mais la fillette avait disparu. Il ne restait que des traces de pas dans la neige. Piotr les suivit jusqu'au village (...) L'enfant de neige jouait en riant dans la neige (...) - C'est un vrai enfant ! s'écria Anna. Notre enfant ! Faisons un grand repas pour fêter sa venue ! (...) L'enfant de neige s'immobilisa sur le pas de la porte : Je ne peux pas manger votre nourriture. Et si je rentre, je fondrai. (...) La nuit venue, l'enfant de neige se coucha dans son petit lit de neige.(...) -M'aimez-vous ? leur demanda l'enfant de neige - Plus que tout au monde - Alors je reste avec vous ! Pendant tout l'hiver, l'enfant de neige joua avec les autres enfants (...) A cache-cache jamais personne ne la trouvait, tant elle se confondait avec la neige (...) c'est ainsi qu'elle se retrouva toute seule dans la forêt. (...) elle demanda le chemin de la maison à un oiseau, puis à un lapin qui la conduisirent chacun à leur logis (nid et terrier), mais pas chez elle. La renarde, par contre, connaissait bien la maison de Piotr et Anna : Tu n'as qu'à me suivre. Je pourrais aller chez Piotr les yeux fermés, rien qu'en suivant l'odeur de ses bonnes poules bien grasses. Que me donneras-tu pour cela ? - Piotr et Anna, m'aiment plus que tout au monde. Ils te donneront tout ce que tu leur demanderas. - L'hiver a été rude. Et j'ai faim. Je me satisferai de la plus dodue de leurs poules. Mais Piotr cache le chien dans le panier, au lieu de la poule Après tout le mal que je me suis donné pour protéger mes poules de lui ! (...) Le chien sauta du panier et poursuivit la renarde jusqu'à la lisière de la forêt. L'enfant de neige se mit à pleurer : - Je croyais que vous m'aimiez plus que tout au monde(...) et vous n'avez même pas voulu lui donner une poule pour remercier la renarde de m’avoir ramenée à vous. - Mais nous t'aimons ! - Moins que vous poules stupides ! L'enfant de neige fondit en larmes de neige que le vent du soir emporta avec un soupir vers les ténèbres de la forêt. Depuis, chaque hiver, Piotr sculpte une table et une chaise de neige. Mais jamais il ne refit un enfant de neige.
  • Pour respecter le sens originel de ce conte qui met en scène la fille de neige née de la rencontre de l'esprit de la nature et du père gel, il me semble préférable d'évoquer la fête du solstice et ses feux. C'est en sautant au-dessus du feu que l’enfant de neige disparaît. Vous pourrez lire l'adaptation personnelle que j'ai faite à partir de ces différentes versions dans l'article ''L'enfant de neige''.


Un conte merveilleux, un récit initiatique ?

  • La Reine des Neiges Reine_des_Neiges_Godeau_Auzouun conte de Andersen, texte en ligne ici ou en plus gros caractères. A écouter sur bibliboom.com.
  • La Reine des Neiges est un conte de Hans Christian Andersen publié en 1814 dans le recueil "Nouveaux contes". Andersen l’a écrit en cinq jours. C’est un de ses contes les plus longs. Il est divisé en sept histoires. C'est un conte initiatique parlant de la lutte d'un cœur aimant contre l'insensibilité d'un monde où les belles apparences cachent un cœur dur. A la fin d'un long périple où une fillette parcourt le monde pieds nus et manque de se perdre à cause d'un peigne d'oubli, les deux enfants qui s'aimaient depuis leur plus jeune âge reviendront chez eux. Il leur semble que rien n'a changé, mais eux ont grandi et sont maintenant prêt à affronter le monde en tant qu'adultes mais avec le regard clair de ceux qui ont traversé des épreuves en croyant malgré tout en la force de l'amour.
  • Résumé :Le plus méchant des Troll a fabriqué un miroir maléfique : tout le bon qui s'y reflète devient mauvais. Mais le miroir se brise en mille morceaux : celui qui en reçoit un éclat dans l’œil ne voit plus que le mal et s'il le reçoit dans le cœur, il se glace et devient insensible aux joies et aux beautés de ce monde et n'éprouve plus de reconnaissance pour les gens qui l'aiment, les oublie, n'étant plus capable d'avoir le moindre sentiment d'amour. C'est ce qui arrive à Kay, ami d'enfance de Gerda. Il accroche son traîneau à la voiture d'une belle dame et se trouve ainsi enlevé par la Reine des Neiges qui le maintient enfermé dans son château glacé près du Pôle Nord. Son charme fait qu'en devenant insensible il a tout oublié : qui il est, d'où il vient et son amour pour ses parents et son amie de toujours. Gerda doit affronter plusieurs épreuves pour le retrouver. Au cours de son périple, elle rencontre de nombreux personnages étranges, une magicienne, un prince et une princesse, des brigands : ils l'aideront chacun à leur manière ; elle questionne le soleil et la rivière mais aussi les fleurs et les animaux qui vont la renseigner et l'aider : une hirondelle, deux corneilles qui l'emportent jusqu'à la fenêtre du prince qui ressemble à Kay, Reine_des_Neiges_Andersen_http://livresdemalice.blogspot.fr/2008/12/pour-aller-jusqu-nol_13.htmlun renne qui va la conduire en Laponie puis au Finmark où réside la Reine des Neiges. La résolution inébranlable de ce cœur innocent viendra-telle à bout du charme maléfique de la Reine des Neiges ?. Illustration trouvée sur le blog "Les livres de Malice"
  • Analyse : Ce conte est le plus long écrit par Andersen mais, outre sa longueur, le conte se démarque avec l’importance donnée à la petite fille. Pour une fois, c’est la figure féminine qui incarne "le sauveur". Enfin, contrairement à d’autres contes du même auteur (La Petite Sirène, La Petite Filles aux Allumettes), le dénouement de l’histoire est plutôt heureux. Le conte fait la part belle au merveilleux : animaux et fleurs dotés de parole, carrosse d’or, château de glace…). Lieux et personnages fantastique ne cessent d’éblouir la petite Gerda et d’enchanter le lecteur. Mais, comme tout conte, il n’a pas seulement pour but de divertir. Avant tout c’est un conte initiatique, articulé en 7 parties qui décrivent successivement les épreuves que doit affronter Gerda. Tout au long du récit, la morale chrétienne est présente, avec l’opposition soulignée du Bien et du Mal. Mais au delà des allusions religieuses, Andersen incite le lecteur à conserver la fraicheur d’esprit propre à l’enfance. Ainsi, à la fin du conte, Gerda et Kay devenus adultes restent cependant des "enfants par le cœur". En ce sens, le miroir maléfique peut être interprété comme un symbole du regard parfois désabusé et aigrit des adultes. publié par CESS le 9 janvier 2013.
  • Et pour une analyse plus approfondie c'est ici !


Contes d'Hiver et variés 2012 :

Pour lire les contes ci-dessous ou leur résumé et connaître les sources, consulter l'article "Contes d'Hiver et variés"

Le froid règne en maître :

  • Le Roi gel (Russie) : Afanassiev in : Les Contes populaires russes, Tome I, Imago, 2009, ou Le gel craquant, Machenka et l ours_Claude Clément_Syrosin : Claude Clément, Machenka et l'ours, Syros, 2001. En ligne ici. Un homme veuf, père d'une petite fille, se remarie avec une femme qui a une fille. La marâtre fait travailler sans cesse sa belle-fille. Jalouse de sa beauté, elle veut se débarrasser d’elle pour que sa fille puisse faire un beau mariage. Elle ordonne au vieux père de la marier au roi gel en l'amenant dans la forêt. Le roi gel souffle du givre sur la jeune fille qui ne se plaint de rien. Il la couvrira de fourrure et de bijoux. Quand le père vient la chercher, il la trouve bien vivante, et la ramène à l'isba. La belle-mère, jalouse de tous ces trésors envoie sa fille qui, méprisant le roi gel, mourra gelée.


Le cycle des saisons :

  • Les douze mois (conte Slovaque) Histoires_merveilleuses_des_5_continents_Soupaultin : Ré et Philippe Soupault, Histoires merveilleuses des cinq continents, Seghers, 1985, épuisé, réédité en 1990. Le cycle des saisons, le passage d'une année à l'autre, la jalousie, le courage dans l'adversité récompensé. Résumé ici


L'hiver ne cède pas facilement sa place :

  • Mars et le Berger, 365_contes_pourquoi_comment Italo Clavino, Contes populaires italiens, Denoël, Italie, in : Muriel Bloch : 365 contes des pourquoi et des comment, Gallimard Jeunesse/Giboulées, 1997, pages du 31 mars. Conté par Patricia le 31 mars 2010. Il était un berger qui avait plus de brebis et de montons qu'il ne pouvait en compter ... L'hiver est long à passer : il ne cesse de supplier les mois d'épargner son troupeau : Hélas ! au premier rayon de soleil, le berger croit l'hiver finit, parti, vaincu, disparu ... et il commence à se moquer de ses frayeurs passées et de la rigueur légendaire de mars qui, vexé, demande 3 jours à Avril et fait périr tout le troupeau par le gel. "Il était un berger qui avait plus de brebis et de montons qu'il ne pouvait en compter ... L'hiver est long à passer : il ne cesse de supplier les mois d'épargner son troupeau : Hélas ! au premier rayon de soleil, le berger croit l'hiver finit, parti, vaincu, disparu ... et il commence à se moquer de ses frayeurs passées et de la rigueur légendaire de mars qui, vexé, demande 3 jours à Avril et fait périr tout le troupeau par le gel." Adaptation ici, et autres versions par


Solidarité, hospitalité, entraide et partage :

  • Les animaux dans l'isba : Machenka et l ours_Claude Clément_Syrosà plusieurs c'est plus facile de faire face Devant le froid et le danger, il faut s'entraider. in : Machenka et l'ours, Syros, 2001.


  • Nicki et les animaux de l'hiver, Jan Brett, Ed. Gautier Languereau 1ere édition 1994 (rééditée dans la collection poche et souple les Petits Gautier) Le jeune Nicki perd, sans s'en apercevoir, la moufle blanche tricotée tendrement par sa grand-mère. Nicki-et-les-animaux-de-l'hiver_Jan-BrettDans cet abri douillet inespéré entreront une souris, un lièvre, un renard, un loup, un hibou, un ours et une souris des champs ... Trop c'est trop ! En s'installant sur le nez de l'ours (il n'y a vraiment plus de place) la souris le chatouille avec ses moustaches et le fait éternuer : tout le monde se trouve projeté en l'air et chaque animal n'a plus qu'à regagner son abri habituel, un peu dépité. Nicki retrouve ainsi sa moufle, voletant dans les airs, mais il ne saura jamais ce qui s'est passé et sa grand-mère se demandera pourquoi une des deux moufles est tellement plus grande que l'autre ..... autres versions à découvrir ici


  • La soupe au caillou : Soupe_caillou_Hindenochversion de Michel Hindenoch, Édition Syros Jeunesse, collection Paroles de conteurs, 2007, poche, 45 pages. "Un soldat qui rentre à pied chez lui demande l'hospitalité à une vieille dame qui l'envoie promener : "Y'a pas assez à manger pour les habitants ! (...) T'as qu'à manger de la soupe au caillou !" dépité le soldat s'apprête à s'en retourner, quand il baisse la tête et voit... un caillou..." Le caillou ... c'était le cœur de la vieille ... mais le soldat a réussi à l'enrober de telle sorte qu'il a pu le soulever, l'alléger, comme l'eau a su entourer le caillou et l'accueillir : le sens du partage l'a emporté... Conté par Patricia le 23 janvier 2010.
  • Une soupe au caillou, Soupe_caillou_animaux_Anaïs_Vaugelardeavec des animaux, version de Anaïs Vaugelade, Éditions L'École des Loisirs, cartonné, 2003. "Une froide nuit d’hiver, un vieux loup arrive dans un village d’animaux. Il frappe chez la poule et la convainc de lui ouvrir pour préparer sa soupe au caillou. Curieuse de voir un loup, et de goûter à sa soupe au caillou, la poule surmonte sa peur et accepte d’inviter le vieux loup chez elle. Ils se mettent donc à préparer la soupe au caillou. La poule propose d’ajouter du céleri. Peu à peu, ils sont rejoints par les autres animaux du village, inquiets, venus s’enquérir de la poule. Chacun apporte un légume de son goût, pour obtenir finalement obtenir une délicieuse soupe qu’ils partagent, ensemble, dans la bonne humeur : quel bonheur de goûter au plaisir d’une veillée entre amis !"Un conte à ponctuer de silences lourds de sous-entendus, qui laissent l'auditoire imaginer la suite, l'esprit en suspens, redoutant le pire et salivant à la pensée de cette soupe délicieusement concoctée par tous ... une soupe délicieuse ou un bouillon de poule ??? Conté par Joris le 23 janvier 2010


  • Le grain de riz, Alain GausselLes_plus_beaux_contes_de_conteurs_SYROS in : "Les plus beaux contes de conteurs", édition Syros Jeunesse, 1999. Le soir du 31 décembre, un jeune homme très pauvre, qui n'a rien à manger, trouve un grain de riz coincé dans le tiroir de sa vieille table en bois... Il va toquer à la porte de ses voisins à la recherche d’une casserole, d’eau, de bois ou d’allumettes pour cuire ce fameux et unique grain de riz. Chaque rencontre est l’objet d’un échange entre bien et personne et voilà le jeune homme face à six invités et un seul grain de riz. Le jeune homme n’en reste pas là et sollicite alors le fermier d’à côté, la vieille femme, le jardinier, le pâtissier ou encore l’épicier qui répondent tous à l’invitation en apportant différents mets. Quinze convives se retrouvent tous réunis autour d’un repas de fête où rien ne manque si ce n’est le riz. Un conte drôle et tendre sur le partage et la solidarité, donné par Claudine le 2 octobre 2010* Le grain de riz : Un conte drôle et tendre sur le partage et la solidarité, donné par Claudine le 2 octobre 2010.


Les cadeaux :

Pour ce thème, consulter l'article "Contes d'Hiver et variés"


Quelques contes de Noël 2011 :

Cliquer sur le texte surligné en rose pour ouvrir la page qui contient le texte du conte.

  • Les araignées de Noël conté par Joris et Patricia une autre variante en ligne ici
  • Petit Noël , Philippe Dorin, in : Le jour de la fabrication des yeux, CCL Editions, Grenoble, cité in : 1000 ans de contes n° 1, Milan 1990.Version de Gérard Leser. En ligne ici.
  • Les sapins du roi conté par Joris. Henriette Robitaillie, Les sapins du roi, Gautier-Languereau, 1989. Une fable pittoresque qui illustre les malheurs des perpétuels insatisfaits.
  • Le sapin, conte de Noël de Hans Christian Adersen, en ligne ici. Un sapin toujours insatisfait croit trouver enfin sa place dans le salon, tout décoré le soir de Noël. Mais après la fête il est oublié au grenier où il racontera des histoires aux petites souris mais il finira brûlé en regrettant de n'avoir pas su se réjouir des bons moments de sa vie qu'il n'a jamais vu, souhaitant toujours autre chose ...
  • Un sapin accueillant d'après Miss Sarah Cone Bryant : Contes du petit sapin (14 contes), Nathan, 1992, 223 p. ISBN 2-09-222206-6. Cliquez ici
  • Le Festin de Noël de Nathalie Dargent et Magali Le Huche, Glénat, 2008 : C'est l'histoire d'un renard affamé et d'une dinde rusée qui refuse obstinément de servir de pâtée. Un conte de Noël plein d'humour et de fantaisie !
  • Le partage de l'oie conté par Joris : Petit Jean et l'oie de Noël in : Mille ans de contes, tome 1, Milan, 1990, p 377. Adapté d'un conte de Léon Tolstoï "Comment le Moujik partagea l'oie" en ligne ici
  • Le chat de Bethléem Michaël Foreman, Kaléidoscope, 2000. Un bel album où un chat constamment dérangé par un couple d'inconnu qui vient dormir dans "son" étable, vous raconte tout ce qu'il a vu.
  • Le petit âne à lire sur le blog de Kasimir
  • Les lutins , Frères Grimm, en ligne ici, vont aider un pauvre cordonnier puis disparaîtront.
  • Krakonoche et la marchande de tissus, conte russe en ligne ici. Depuis la nuit des temps, et aujourd'hui encore, le mystérieux Krakonoche règne sur les Monts des Géants. C'est un vieux magicien très grand et très puissant. Il porte une barbe blanche si longue qu'elle s'emmêle parfois à sa ceinture et un bâton si haut que viennent souvent s'y percher les oiseaux. Les gens de la région ne l'ont jamais vu mais ils disent qu'ils entendent parfois dehors ses genoux craquer: «Krak! Krak!». Autrefois, dans un chalet de ces montagnes, vivaient Milena et sa grand-mère. La vieille femme filait la laine de ses moutons et la petite fille en faisait des carrés de tissu coloré qu'elle allait vendre au marché, avant les fêtes de Noël, dans un village de la vallée... elles accueilleront ce voyageur qu'elle croient égaré et il transformera leur pauvre repas en festin il déposa sur un banc la branche de sapin qui se mit à grandir et à grandir encore, au point de devenir un arbre de Noël plein de petites pommes d'or et de jouets de toutes sortes ...
  • Michka de Marie Colmont - Fédor Rojankovsky (illus.), Flammarion, Les albums du Père Castor, 1993. Un ours en peluche, fatigué du mauvais caractère de sa maîtresse Elisabeth, une petite fille gâtée et capricieuse part dans la forêt pour goûter à la liberté et vivre comme tous les autres ours. Quand il rencontre le renne de Noël, il l'aide à faire sa distribution. Mais en arrivant à la dernière maison, ils n'ont plus rien à donner. Alors Michka redevient peluche pour le plaisir d'un enfant pauvre.
  • Les rennes de Noël (Dedieu, ed. Didier jeunesse, 2005) explique (avec humour) pourquoi les rennes du Père Noël volent ... Résumé à lire dans l'article Fêtes d'Hiver(ses) et variées suivi de quelques contes de Noël


En conclusion ...noel_boules_LeChat_Geluck