Arthur devient roi et domine les apparences
Résumé :
Arthur est né du roi Uther Pendragon et de la duchesse Ygerne, grâce à l'intervention de Merlin : Merlin a changé l'apparence du roi en celle du duc de Tintagel, époux de la belle Ygerne tant convoitée, afin qu'elle passe une nuit d'amour avec Uther et cette nuit-là a été conçu un enfant mâle : Arthur.
Merlin s'était engagé à servir le roi Uther Pendragon et à défendre la lignée royale. Si Merlin a permis une telle union et cette naissance, qui devait rester secrète pendant de longues années, c'est parce qu'il avait la prescience des événements à venir : Il savait que cet enfant aurait un destin extraordinaire. car « Seul un enfant de l'amour peut prétendre instaurer la paix entre les hommes »
. Ainsi, parfois, se mélangent parfois le bien et le mal, le mal et le bien. A chacun d'en tirer le meilleur …
Pour en savoir plus sur la naissance d'Arthur, consulter l'article précédent en cliquant ici
A la mort du roi Uther Pendragon, le trône du royaume de Bretagne reste vacant et convoité par de nombreux nobles qui se battent fréquemment pour se l'approprier. Le magicien Merlin convoque les barons du royaume à Logres pour la veille de Noël. Dans la nuit apparaît mystérieusement un bloc de pierre carré supportant une enclume dans laquelle est plantée une épée. Sur la lame est écrit que celui qui parviendrait à l'en retirer deviendrait le roi de toute la Bretagne. Personne n'y parvient, sauf le jeune Arthur qui est désigné ainsi comme digne successeur du roi Uther, bien que tous ignorent ses origines.
Bien que d'humble origine en apparence, Arthur est révélé roi. Il saura montrer sa bravoure en repoussant les envahisseurs et en détruisant les monstres qui terrorisent le pays et gagnera ainsi la considération des seigneurs. Quand Merlin permettra que soit révélé qu'Arthur est le fils du roi Uther, même les plus récalcitrants se soumettront. Ainsi Arthur va unifier le royaume.
Arthur né par le jeu des apparences n'en a jamais été le jouet .
Voici quelques uns de ses exploits :
Et cric, et crac !